Le premier album de ce nouveau trio maintenant disponible !
Si Sofiane Saidi, Rodolphe Burger et Mehdi Haddab ont décidé de former ce nouveau trio, c’est parce que leur concert d’un soir, à la Dynamo de Pantin, à l’invitation de Banlieues Bleues, était comme situé à l’exacte intersection de leurs trois cheminements musicaux, sur les rives historiques du blues-rock, du raï et de l’électro. Les trois membres se connaissaient déjà. Ils sont chacun soliste ou leader de différentes formations. Rodolphe Burger et Mehdi Haddab (très grand joueur d’oud, fondateur des groupes Ekova et Speed Caravan) avaient déjà collaboré sur disque et en concert avec "Le Cantique des Cantiques & Hommage à Mahmoud Darwich" et "Glück Auf !". Leur trio est une continuité du "Couscous Clan", le groupe que Rodolphe Burger menait avec Rachid Taha et dont Sofiane Saidi (la plus belle voix du raï actuellement), est le digne héritier. Armé d’un répertoire jubilatoire empreint de Kat Onoma et d’Hendrix, ce premier album intitulé Mademoiselle illustre la rencontre du troisième type par excellence. L’alchimie du groupe est indéniable, à l’origine de morceaux mémorables, comme ce refrain déjà culte : 1, 2, 3 Viva l’Algérie !
Inédit hors Israël, voici pour la première fois édité en CD et vinyle " SHAOT REGISHOT " (" SENSITIVE HOURS "), l'album disque d'or en Israël enregistré en hébreu par Avishai entre " GENTLY DISTURBED " et " AURORA ". Pour la première fois de sa carrière, il ne se lance pas dans un album instrumental, mais dans un album de chansons magnifiques qu'il écrit et interprète, fortement influencées par le jazz, certaines musiques traditionnelles, révélant une voix aux accents multiples et d'un charme fou... Un jalon essentiel de sa déjà riche discographie.
Sur 'Sequana', le nouvel album de l'artiste, auteure et compositrice franco-algérienne Souad Massi, produit par Justin Adams, sa folk musique s'élargit vers des sons du Sahel, l'Amérique du Sud et le rock.
Ses chansons parlent des rapports humains, du mal être des adolescents dans les sociétés d'aujourd'hui à la dénonciation des régimes totalitaires qui poussent les peuples à prendre tous les risques pour quitter leurs pays. Avec cet album, Souad Massi creuse son sillon de femme engagée, émancipée, une femme de son temps qui chante ses combats comme jamais.
" LA RÉVÉLATION PSYCH-POP ANATOLIENNE,ENVOÛTANTE. GROOVE, TRANSES ET FRISSONS GARANTIS." --- LES INROCKS ---.
" LA FOUDRE ANATOLIENNE ! " --- FRANCE INTER ---.
Le groupe pop Outernational Derya Yildirim & Grup Simsek dévoile la deuxième et dernière partie de leur double album 'Dost 1&2'. Une fois de plus, leur son psych-folk anatolien subtil et groovy correspond à la qualité puissante des chansons - souvent menées par la voix sublime et le baglama (luth turc) de Yildirim. Avec 'Dost 2', le groupe a élargi ses horizons d'écriture de chansons et affiné ses compétences d'arrangement idiosyncratiques.
La plupart des morceaux de 'Dost 2' a été composé par le groupe, avec deux morceaux notables composés par le guitariste-flûtiste Antonin Voyant dont le travail mélodique amène la musique à un endroit non nostalgique, mais profond et significatif. Les paroles ont été écrites par Derya Yidirim en collaboration avec l'écrivain berlinois Duygu Agal, ajoutant une autre corde à l'arc de Grup Simsek.
Comme une déclaration de frontières créatives en constante expansion, l'album s'ouvre sur une poignante ballade pop originale. 'Gümüs' - qui signifie littéralement 'Argent' - est utilisé ici pour décrire un état particulier de l'âme, entre la vie et la mort. Dans le refrain, Yildirim répète 'Içim çiglik' (Je suis déchiré) qui révèle la lutte émotionnelle et la douleur du narrateur.
Vient ensuite 'Darildim Darildim', un déménageur groovy mené par une combinaison grondante de guitare wah-wah et d'orgue. Écrit par Mahzuni Serif (également responsable du premier hit de Derya Yildirim & Grup Simsek 'Nem Kaldi'), un Anatolien 'Asik' (un barde errant et poète) qui a écrit des chansons politiquement chargées dans les années 70 et 80, la chanson traite de questions humaines et de l'injustice de la société - on dit que cette chanson a été écrite alors que Mahzuni était emprisonné pour ses inclinations politiques. Le tour de force ici est d'avoir traduit l'humeur rageuse et sérieuse des paroles en une énergie positive, dansante et électrique. 'Odam Kireç Tutmuyor', une chanson folklorique traditionnelle, est arrangée ici pour un trio minimaliste et intime - avec l'orgue obsédant de Graham Mushnik et la flûte en forme d'oiseau de Voyant - sur laquelle la voix époustouflante de Yildirim brille comme une lanterne rougeoyante dans une nuit brumeuse.
La suite de 'Dost 2' révèle une autre série d'originaux du Grup Simsek : l'étonnant 'Yeni Yürekle' ('avec un nouveau coeur') et son flot de guitares folk entrelacées ; l'irrésistiblement dansant 'Bal' ('miel') avec son rythme disco léger, ses explosions de synthé et son solo de baglama exaltant; la délicate composition instrumentale de Derya Yildirim 'Mola' (' pause ') ; et le déchirant 'Merakli Gönül' ('coeur curieux') avec sa ligne de basse mélodique et ses accords wah-wah expressifs.
L'album se termine par 'Ayse Halam Ariyor', une chanson folklorique connue sous le nom de 'Bulgar Dagi' ('montagne bulgare') qui a été chantée au téléphone par la tante Ayse de Derya lors d'une répétition, et enregistrée spontanément par le groupe. Ayse Yildirim est également l'auteur du poème 'Hastane Önü' présenté sur 'Dost 1', d'où le choix d'inclure le son de sa voix comme conclusion pour 'Dost 2'. Ici, ils ont capté une interprétation vivante et unique qui se connecte à la signification de 'Dost' - comme l'explique le texte inséré à l'intérieur du vinyle-CD - 'DOST est un ami, un camarade, un frère, une soeur et même plus que ça . DOST est la connexion pour garder cette vie et ce monde significatifs '. Nul doute qu'avec 'Dost 2', Derya Yildirim & Grup Simsek réuniront les sons, les gens et les émotions.
Descofar est une créature fantastique, un hybride du souffle mélodique de la musique bretonne, de la puissance d’un post-rock compact et de
l’intensité immédiate de l’improvisation. Avec une écriture instrumentale dense qui fait s’entrechoquer compositions originales, thèmes traditionnels et culture rock, le power trio Brestois à l’instrumentation rare (2 harpes électriques, synthé basse, batterie) ne revendique rien d’autre que l’émotion au travers du son, la lumière qui éclate dans les fissures d’un monde fracturé, pour un public avide de danser, ensemble, à nouveau.
L'invité de tous les médias se confie dans un album intime : entre créativité foisonnante et sincérité personnelle
André Manoukian est une personnalité à la notoriété solide, installée et populaire. Si son nom est immédiatement associé à la musique, c’est aujourd’hui l’ambition d’ « Anouch » de le lier à SA musique.
C’est avec un album très personnel qu’André Manoukian se livre pour la première fois et en musique sur ses origines, son histoire ; mêlant ses racines et leur souvenir à ce qui l’anime aujourd’hui, créant ainsi un album majestueux, solaire et accessible.
« Anouch a inspiré la chanson qui donne son titre à l’album. C’est une marche. Et ça tombe bien, Anouch était une randonneuse. Anouch était ma grand-mère. En 1915 elle a parcouru à pied 1000 km d’Amasya à Deir esZor.
Si elle a survécu, c’est qu’elle avait une grande gueule et qu’elle a su émouvoir le commandant turc du convoi qui la déportait.
Anouch, en arménien, ça veut dire doux, sucré. Ça tombe bien, la musique c’est du sacré et ... du sucré. »