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Prix
Michel Serres
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Le monde a tant changé que les jeunes doivent tout réinventer. Nos sociétés occidentales ont déjà vécu deux révolutions : le passage de l'oral à l'écrit, puis de l'écrit à l'imprimé. Comme chacune des précédentes, la troisième, tout aussi décisive, s'accompagne de mutations politiques, sociales et cognitives. Ce sont des périodes de crises. De l'essor des nouvelles technologies, un nouvel humain est né : Michel Serres le baptise « Petite Poucette » - clin d'oeil à la maestria avec laquelle les messages fusent de ses pouces.
Petite Poucette va devoir réinventer une manière de vivre ensemble, des institutions, une manière d'être et de connaître...
Débute une nouvelle ère qui verra la victoire de la multitude, anonyme, sur les élites dirigeantes, bien identifiées ; du savoir discuté sur les doctrines enseignées ; d'une société immatérielle librement connectée sur la société du spectacle à sens unique...
Ce livre propose à Petite Poucette une collaboration entre générations pour mettre en oeuvre cette utopie, seule réalité possible.
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«J'ai passé ma vie à tenter d'anticiper.» Michel Serres roulait dans son accent les cailloux de Garonne et gardait dans ses yeux le bleu du large auquel aspirait jadis le jeune marinier devenu philosophe. La France, il ne la concevait que mêlée au grand récit du monde. Son enfance dans un milieu agricole, l'École navale et sa vie d'officier de marine, l'entrée à Normale Sup, mais aussi les révoltes de Mai 68, sa vie de professeur et son amour des sciences : cette conversation nous fait traverser une vie engagée.
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Ce petit manifeste, écrit sur un coup de sang par l'auteur de Petite Poucette en colère contre tous les Grands Papas Ronchons qui empêchent de regarder devant nous avec espoir, a été tout d'abord offert à tout acheteur de deux livres de poche de Michel Serres. Devant l'enthousiasme qu'il a suscité et les nombreuses demandes qui nous sont parvenues, nous avons décidé de le publier sous forme d'un tout petit livre :
« Dix Grands Papas Ronchons ne cessent de dire à Petite Poucette, chômeuse ou stagiaire qui paiera longtemps pour ces retraités : « C'était mieux avant ». Or, cela tombe bien, avant, justement, j'y étais. Je peux dresser un bilan d'expert.
Qui commence ainsi : avant, nous gouvernaient Franco, Hitler, Mussolini, Staline, Mao... rien que des braves gens ; avant, guerres et crimes d'état laissèrent derrière eux des dizaines de millions de morts.
Longue, la suite de ces réjouissances vous édifiera ».
Michel Serres
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C'était mieux avant ! petit manifeste en faveur de nos sociétés contemporaines
Michel Serres
- Marabout
- 4 Janvier 2023
- 9782501166836
Ce manifeste est un coup de colère contre tous les Grands Papas Ronchons qui nous empêchent de regarder le présent avec confiance et l'avenir avec espoir.
Usant d'un humour incisif et qui ne craint pas d'être noir, Michel Serres y dénonce les apôtres du retour en arrière, en matière de santé, d'hygiène, de féminisme, de voyages, de sexualité ou de pratiques agricoles.
Pour mieux montrer à quel point notre siècle est chanceux de connaître une vie plus douce et des pratiques plus humaines que le précédent.
Un coup de pied jubilatoire dans les idées reçues des passéistes de tous poils. -
" Pour chanter les vingt ans du Pommier, mon éditrice me demanda d'écrire quelques lignes. Les voici. Pour une fois, j'y entre en morale, comme en terre nouvelle et inconnue, sur la pointe des pieds. On disait jadis de l'Arlequin de mes rêves, bienheureux comédien de l'art, qu'il corrigeait les moeurs en riant. Devenu arrière-grand-père, son disciple a, de même, le devoir sacré de raconter des histoires à ses petits descendants en leur enseignant à faire des grimaces narquoises.
Parvenus ensemble à l'âge espiègle, j'en profite pour leur dire de l'austère en pouffant de rire. " Michel Serres
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Peut-on considérer la nature comme un sujet de droit ?
Comme maîtres et possesseurs, nous la dominons et la réduisons au statut d'objet. Pourtant, cette nature nous reçoit, nous accueille et nous fait vivre. Si nos extractions et nos exploitations la mettent en danger, la menace se retourne aujourd'hui contre nous.
La nature nous conditionne et, désormais, nous conditionnons la nature. Ancienne et nouvelle, cette interdépendance appelle, pour Michel Serres, l'établissement d'un « contrat naturel », fondement d'un droit nouveau, d'une symbiose vitale, qui termine par un pacte la guerre que nous menons contre la nature. Passé entre les humains et le monde, jadis laissé hors-jeu par le contrat social, le Contrat naturel octroie une dignité juridique à la nature et définit les devoirs de l'humanité envers elle.
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Michel Serres compte parmi les rares philosophes sportifs. Son éloge du sport est donc fondé, sa philosophie du sport incarnée. Dans cet entretien plein d'esprit, il questionne tout : l'importance insoupçonnée du métier de professeur d'éducation physique, l'intelligence du corps et la place qu'il occupe dans notre existence, mais aussi les concepts et les intérêts cachés derrière les règles du jeu.
Pour lui, les enjeux liés au sport sont bien plus profonds que les apparences le laissent à penser. Car, outre le bien-être physique et mental qu'il procure, il conditionne notre rapport au corps et à la technique, notre faculté de socialisation, notre développement, et jusqu'à nos modèles de société... -
Le dernier livre de Michel Serres, consacré à repenser la religion, et qui vient clore l'aventure de sa pensée.
« Voici sans doute mon dernier livre. Il varie sur les deux origines du mot religion, l'une probable, l'autre usuelle : relire et relier. Il ne cesse, en effet, de relire les textes sacrés tout en cheminant le long des mille et une voies qui tissent le réseau global de nos vies, de nos actes, de nos pensées, de nos cultures. En cela, il conclut quelques décennies d'efforts consacrés à lier toutes opérations de synthèse.
À l'âge analytique - celui des divisions, décompositions, destructions, y compris celle de notre planète - succède celui de la synthèse et de la reconstruction. Nos problèmes contemporains ne peuvent trouver que des solutions globales.
Comment ne point finir par le religieux, dont on dit qu'il relie, selon un axe vertical, le ciel à la terre, et, horizontalement, les hommes entre eux ? ».
Michel Serres
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Le nouveau corps confie au sport son souffle, son coeur, sa sueur et sa fatigue, ne travaille presque plus de force mais sur des codes ; hygiénique, hydraté, sanitaire et aseptique, rectifié par les remèdes et la prédiction médicale, il repousse la mort de trente ans et l'antique souffrance quasi définitivement.
Comment ces corps si vite changés en moins d'un demi-siècle habiteraient-ils le même monde, sentiraient-ils par les mêmes sens, logeraient-ils la même âme que l'ancienne chair accablée ou repue, verbeuse, rigide et trop vêtue en raison de la honte ou du froid, soumise au labeur et non à l'exercice, à la morale plus qu'à la médecine, dont la philosophie de nos pères a parlé ?
Une étude originale et brillante de la situation des corps humains et de leurs sens dans les sociétés contemporaines qui ouvre la voie d'une magistrale philosophie de la sensation, au coeur de la pensée de Michel Serres.
Michel Serres (1930-2019), membre de l'Académie française et professeur à la Stanford University aux ÉtatsUnis, est l'auteur de nombreux essais philosophiques et d'histoire des sciences. Il a notamment publié Petite Poucette (Le Pommier, 2012) et, dans la collection « Pluriel », Le Parasite, Rome et Relire le relié. -
Communément célébré pour sa parole lumineuse, Michel Serres a été souvent critiqué pour la complexité de ses livres, notamment les premiers. Paru en 1992, Éclaircissements s'était donné pour mission de rendre le travail du philosophe transparent et limpide. La discussion menée par Bruno Latour, qu'il connaissait bien, a permis à Michel Serres de s'exprimer librement et sincèrement tout en simplifiant son propos. Un dialogue amical mais sans concession où l'on apprend beaucoup sur sa formation intellectuelle (la guerre, les sciences renouvelées), sur les enjeux de ses livres et le dessein global d'une oeuvre qui, à ce moment, n'en était encore qu'au premier tiers : 24 livres sur 80 ! Michel Serres explicite les raisons de son passage des sciences à la philosophie, sa position singulière, construite sur la remise en cause du progrès des sciences devant Hiroshima et la responsabilité scientifique : « J'ai été formé intellectuellement par les révolutions intérieures à la science, et philosophiquement par le rapport de la science à la violence. » Pour construire l'avenir, notamment celui de la cohabitation des hommes et de la nature, il insiste sur l'importance du droit, du récit, incarnation nécessaire, de la beauté de la langue, qu'il cultive, ou celle de la pluridisciplinarité, qu'il prônera activement. Avec le recul, on est étonné de voir à quel point il était lucide sur l'état du monde et sur ce qui nous attendait.
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Petite Poucette a un grand-père et ce n'est pas un grand-papa ronchon !
Soucieux des générations futures, il réfléchissait déjà à comment former, c'est-a`-dire instruire et e´duquer, l'homme de demain. Vaste sujet, enjeu majeur de notre société!
Depuis les philosophes antiques et Rousseau, peu de philosophes, notamment contemporains, se sont intéressés à l'éducation...
Pour Michel Serres, l'éducation est indissociable du métissage des cultures. Le Tiers- Instruit est celui qui saura se nourrir des humanités comme des sciences, les unes n'allant pas sans les autres pour s'adapter aux évolutions du monde qui nous entoure.
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Depuis l'embryon lové dans le ventre de sa mère jusqu'aux métropoles qui couvrent la Terre de leurs lumières permanentes, les humains habitent le monde de mille et une façons. Mais les animaux et, plus étonnant, les végétaux ont eux aussi, bien avant nous, conçu des demeures où vivre. Des grottes aux cathédrales en passant par les cabanes et les hôtels, de la coquille au terrier, Michel Serres nous dévoile les secrets d'architectures séduisantes et multiples, nous en montre le sens et esquisse ainsi, par biomimétisme, le monde de demain. Édité à l'origine avec une riche illustration, ce texte, empreint de poésie, est pour la première fois rendu disponible dans une édition courante sans les images.
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La Fontaine n'a cessé d'accompagner Michel Serres, dans les différents moments de sa pensée.
Ce livre en est l'ultime témoignage.
Serres explore tout d'abord les Fables comme de prodigieux palimpsestes qui peuvent constituer autant de voyages vers les origines de notre pensée : sa « source corporelle et cognitive » inscrite dans toute une « gestuelle » de la fable, la « source des rapports sociaux » qui remontent par le biais de la fable jusqu'au totémisme. En des zones indécises ouvertes entre l'animal et l'humain, Serres montre alors comment ces fables mettent en oeuvre toutes sortes de métamorphoses qui concernent de très près notre manière de « faire l'homme ». Chemin faisant, Serres fait apparaître une pensée en réseau dont il scrute les balancements les plus subtils.
On l'aura compris : ceci n'est pas seulement un livre sur La Fontaine. C'est aussi et surtout un livre avec La Fontaine, où l'on voit Serres réfléchir pas à pas avec le « fablier », mettant joyeusement à l'épreuve ses propres hypothèses, et nos manières de vivre.
Jean-Charles Darmon
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Défense et illustration de la langue française, aujourd'hui
Michel Serres, Michel Polacco
- Le Pommier
- Le Sens De L'info
- 20 Juin 2018
- 9782746517127
La défense de la langue française provoque toujours chez Michel Serres une montée d'émotion ! Devant l'invasion de l'anglais, il s'indigne : « Aujourd'hui, dans les villes de France, il y a plus de mots anglais que de mots allemands pendant l'Occupation ! » Et pour nous convaincre de la beauté de notre langue, il nous fait goûter aux subtilités et aux délices de cette langue... vivante !
Et qui évolue : plus de 35 000 mots nouveaux dans la prochaine édition du Dictionnaire !
Cela faisait longtemps - depuis Du Bellay ? - que n'était parue une si jolie Défense et illustration de la langue française !
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Le gaucher boiteux ; puissance de la pensée
Michel Serres
- Le Pommier
- Poche Le Pommier
- 2 Mars 2017
- 9782746503878
Avec ce soixantième livre, Michel Serres synthétise le travail de toute une vie. Il réussit à décrire la façon dont il a pensé ses livres et sa philosophie depuis les débuts, avec Hermès, jusqu'à tout récemment, avec Petite Poucette.. Surtout, il explore la pensée et ses figures.
Penser, c'est inventer, pas imiter ni copier ! S'enrichissant de l'apport des sciences, de la philosophie, de l'histoire et de la religion, Michel Serres associe à la pensée le monde dans sa totalité.
Pour cela, il convoque le Grand récit de l'Univers, le réel ; le médiateur, gaucher boiteux, qui crée des personnages en foule et explore les vivants ; et le gaucher pensant qui nous parle de l'« âge doux ». Celui de Petite Poucette, le nôtre.
Au total, voici une nouvelle philosophie.
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Michel Serres a consacré sa vie à essayer de décrire la formidable transformation du monde présent. Dans ce livre, parfois un peu nostalgique, il se souvient du monde qu'il a connu dans sa jeunesse : la drague et les paysans d'Agen, le rugby, les paysages et les chemins, Garonne ! Mais aussi les pays qu'il a découverts ensuite et aimés, le Queyras, la mer... le monde ! Au travers de ces évocations, il nous fait réfléchir sur les transformations auxquelles nous avons assisté : l'évolution de la ville et la campagne, ce que signifie émigrer, les potentiels extraordinaires du corps, l'encyclopédie et l'enseignement, et, toujours, le rugby !
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Michel Serres : oeuvres complètes
Michel Serres
- Le Pommier
- Cahiers De Formation
- 5 Octobre 2022
- 9782746525467
En 1960, Michel Serres a trente ans. Il n'a encore publié aucun livre. Sur dix-huit cahiers manuscrits, il tient, de mai 1960 à mai 1974, une sorte de «?journal philosophique?», où il note ses réflexions, ses intuitions, ses trouvailles. Il a décidé de bâtir une oeuvre. Dans ces cahiers, il s'y exerce. Ce premier volume des oeuvres complètes contient la transcription intégrale de ces cahiers. On y trouve, bien sûr, les esquisses de sa thèse, les brouillons de ses articles, des notes de lecture, mais aussi des réflexions sur l'époque, sur l'université, sur le monde et sur lui-même. Et une pensée qui chemine, inspirée par le souci de jeter des ponts entre le monde des sciences et celui des lettres et de la philosophie. Fort de sa double culture, Serres aspire à inventer un nouvel encyclopédisme?: à «?tracer des routes transversales?» dans l'océan des savoirs. Dans le même temps, mesurant la puissance que nous donnent les sciences et les techniques, il nous alerte sur les dangers que cette «?maîtrise?» comporte?: «?[...] l'homme de demain est condamné à la raison. [...] Hors la sagesse, il n'y a plus, probablement, comme horizon que le suicide collectif et intellectuel.?» Et il définit la mission du philosophe?: penser ce «?nouveau monde?», pour le rendre habitable. Préface et présentations par Roland Schaer. La collection des oeuvres complètes de Michel Serres est dirigée par Sophie Bancquart, Bernadette Bensaude-Vincent, Roland Schaer et Frédéric Worms.
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Que révèle le séisme financier et boursier qui nous secoue aujourd'hui ?
Si nous vivons une crise, au sens plein du terme, aucun retour en arrière n'est possible. Il faut donc inventer du nouveau. Or, le nouveau nous submerge ! En agriculture, transports, santé, démographie, informatique, conflits, des bouleversements gigantesques ont transformé notre condition comme jamais cela n'était arrivé dans l'histoire. Seules nos institutions n'ont pas changé. Et voici l'une de ces ruptures profondes : notre planète devient un acteur essentiel de la scène politique. Qui, désormais, représentera le Monde, ce muet ? Et comment ? Michel Serres montre que nous sommes encore les acteurs de notre avenir.
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Pour les religions monothéistes comme dans les anciennes légendes, l'Ange est avant tout un porteur de messages. Or, nos sciences et nos techniques produisent aujourd'hui cent métiers de communication, autant de réseaux mondiaux, une ville sans limites, d'incessants déplacements qui dessinent la carte d'un nouvel univers, et induisent des problèmes planétaires, portés sans cesse vers nous par mille messagers. Mais cette messagerie universelle s'accompagne d'indicibles injustices, d'une misère croissante, de famines et de guerres, d'une révoltante inégalité. Dans ce monde de flux et de réseaux, où Prométhée a fait place à Hermès, peut-on lire réalisée, partout autour de nous, une nouvelle légende des Anges, avec échangeurs et annonceurs, toiles et passages, chutes et Démons, Puissances et Dominations, quête de miséricorde... ? C'est en tout cas ce que nous conte ici Michel Serres, tissant, au fil d'une série de dialogues fictifs qui convoquent ensemble sciences, droits et religions, une nécessaire philosophie de ces nouvelles relations.
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La géométrie est apparue en Grèce il y a vingt-six siècles exactement. Pourquoi ? Comment ? Il existe si peu de réponses à ces questions que bien des historiens parlent de miracle pour qualifier un événement aussi rare. Pratiquement toutes les cultures ont tenu des comptes, connu quelques nombres, observé les mouvements du ciel, suivi un calendrier, tenté de soigner les maladies. Une seule entreprit de représenter des formes comme le carré, le cercle, la sphère... et de raisonner sur elles en rigueur. Cette recherche des origines invite à réfléchir sur la science de l'histoire ellemême.
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éloge de la philosophie en langue française
Michel Serres
- Flammarion
- Champs Essais
- 12 Mars 2014
- 9782081332119
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Voir, être vu... Mille et une variations sur le sens qui prime sur les autres par un grand philosophe, à la vision... bien particulière !
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De bonnes nouvelles ; chroniques 2004-2018
Michel Serres, Michel Polacco
- Le Pommier
- Essais-manifestes
- 20 Janvier 2021
- 9782746519336
« Pendant quatorze ans, en la compagnie amicale de Michel Polacco, j'ai tenté de décrire notre monde à la manière des peintres pointillistes.
Voici en leur entier ces chroniques du dimanche.
D'un point de vue oblique, souvent inattendu, elles cherchent à passer partout, des sciences et des techniques aux usages familiers, du droit aux religions, des beaux-arts aux sports, et ainsi de suite. J'aurais dû intituler l'ensemble : « Passe-partout » !
Ainsi visité notre monde apparaît somptueusement nouveau. Or, la nouveauté engendre la joie, comme font l'aurore ou la naissance.
En leur temps et par leur style, ces chroniques plurent aux auditeurs, nous en eûmes mille témoignages ; reste à souhaiter aux lecteurs une même joie. » Michel Serres
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