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jos sabac
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Recueil de remarques et réflexions sur la vie, le temps qui passe, l'amour et la mort...Ces réflexions se veulent courtes et (im)pertinentes, faciles à lire et à retenir. Sans prétention, mais toujours avec beaucoup d?humour, ce recueil peut être lu par tous les publics.
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L'auteur s'est inspiré d'un poème de Boris Vian pour se laisser guider : pour titre, il en a pris les premiers mots ; puis il a déroulé le texte pour le découper en sept parties qui ont servi de fil conducteur.
Cela commence par : « Je veux » :
« Je veux des vers primesautiers » « Je veux des vers de mirliton ».
Et cela continue naturellement par : « Une vie en forme de chose », puis : « En forme de savate molle », et ainsi de suite jusqu'à la déclaration finale.
Jos Sabac lâche la bride à son inspiration car, si la trame se veut un hommage à Boris Vian, tout le reste est personnel, les idées, comme le style. On y parle de filoselle et de pilou, de l'éternité si longue, de parfum ou de satyre...
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Une famille tranquille, avec ses petits soucis et ses satisfactions quotidiennes. Pourtant la routine vacille lorsque l'on découvre une valise, abandonnée par l'ami douteux de la fille de la maison et cela, le jour même où un colis piégé explose dans la rue...
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« N´est-il pas sujet plus exaltant pour un homme que la femme? La femme admirée, crainte, observée, désirée, charmée?
Faut-il encore vous le dire En se jetant à genoux Mesdames que votre empire Me charme et me paraît doux Embelli par vos sourires Si suaves et si doux. »
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Dans ce recueil, l'auteur s'exprime sur divers thèmes actuels bien qu'éternels comme la nostalgie, la mort, l'éternité, l' (in)tolérance et l'amour. Légers et agréables à lire, ces poèmes sont d'une grande sensibilité. A découvrir ! Tentacule Le temps est une pieuvre il t'oppresse et manoeuvre Le temps le temps t'accule et hargneux te bouscule en un combat brutal jusqu'au moment fatal
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Recueil de vingt-deux nouvelles, les unes roses, les autres rosses. L'humour le dispute avec la dérision ; la noirceur du propos ou des intentions côtoie les pages loufoques où tout peut arriver. « Madame Arthur prenait son bain de boue. Et un peu de vase sur le dos ! Et de la gadoue sur les hanches ! Et des cataplasmes sur les fesses ! C'était le pied ! Un pied presque aussi gros que sa patte ! Évidemment, elle aurait bien souhaité perdre un peu de ventre. Mais on ne peut tout avoir à la fois : la mollesse et la finesse ; la douceur et la minceur. Alors, elle ne surveillait plus sa ligne, à part quelquefois sa ligne de flottaison. Car elle avait décidé d'oublier son pèse-hippopotame le jour où elle avait vu avec effroi l'aiguille se diriger allègrement vers les 3 tonnes. »
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« Sois douce amie dolente aux soupirs de ta joie alanguie somnolente brûlée d'un feu grégeois. Revêtue de l'extase rencontrée déifiée tu remplis d'eau le vase et de fleurs mortifiées. La chamade est calmée dans le matin magique te revois-tu almée épousant la musique. Te revois-tu soumise aux désirs délicieux la peur n'a plus de mise tu as séduit les cieux ». Après Le Baladin lunaire et Aphorismes, Jos Sabac nous invite une nouvelle fois au pays des mots. Son univers à la fois lyrique et réaliste évoque la femme, le désir et l'amour.
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Il est venu un soir Et au fond de la salle Il est allé s'asseoir Il a fouillé son sac ovale Et vaguement ostentatoire En a sorti une passoire La promenant de gauche à droite Devant quelques personnes coites Il s'est mis délicatement À passer le temps.
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Un petit village dans la banlieue toulousaine. Une famille s'y installe et découvre une tombe abandonnée dans le fond du jardin, celle d'une jeune fille morte au XVIIIe siècle. L'imagination de tous se met en branle et celle de la petite fille, véritable folle du logis, la pousse à des actes insensés...
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À quoi pense un garçon normalement constitué en suivant une jeune fille plutôt gironde ? Il ne peut s'empêcher de rêver... Mais quand il se retrouve dans son lit, nu, seul et attaché, il se doute que le rêve virera bientôt au cauchemar.
Dans son quatorzième ouvrage publié, Jos Sabac porte un regard ironique mais aussi compatissant sur notre société qui semble ignorer de plus en plus les mots altruisme et générosité.
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Vous aimez l'humour ? Vous allez être servi. Vous préférez la science-fiction ? Ce recueil ose s'y risquer. Vous préférez les anecdotes réalistes ? L'auteur s'y essaie aussi. Vous attendez des histoires courtes ? Vous en trouverez. Vos goûts vous porteraient plutôt vers les récits qui ont du coffre et de la tenue ? Vous pourrez vous y attarder...
D'un style allègre et sans tabou, ces nouvelles se lisent avec facilité, pour ne pas dire avec jubilation : « L'air frais les surprit et elle se laissa palper plus facilement qu'il n'aurait supposé. Il voulait vérifier, en bon sous-officier, qu'elle avait emporté tout son paquetage et qu'elle ne lui cachait pas une tenue de camouflage, sous forme de faux seins par exemple... »
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