Carla Juaçaba développe sa pratique indépendante de l'architecture et de la recherche depuis 2000 à Rio de Janeiro, au Brésil. Son bureau participe actuellement à des projets publics et privés axés sur le logement et les programmes culturels. Elle a travaillé avec l'architecte Gisela Magalhães, principalement dans des expositions liées aux arts indigènes brésiliens et aux musées historiques. Parmi ses premières oeuvres, elle est connue pour une série de maisons - Rio Bonito (2005), Varanda (2007), Minimal (2008) et Santa Teresa (2014) - des scénographies d'exposition et surtout le pavillon éphémère appelé Humanidade, à Rio de Janeiro, conçu avec la scénographe et metteur en scène Bia Lessa conçu pour la conférence des Nations Unies à Rio de Janeiro en 2012. Elles ont créé un pavillon temporaire fait d'échafaudages récupérés dans les chantiers alentour, et surmonté de la phrase "The Future we Want". Elle a également été invitée à la Biennale d'architecture de Venise 2018 avec le projet Ballast et a construit l'une des chapelles du Vatican.
Inside the French firm's streamlined buildings designed for sports, recreation and celebration
NP2F is an architectural studio created in 2009 by François Chas, Nicolas Guérin, Fabrice Long and Paul Maitre Devallon specializing in arenas and gymnasiums that emphasize the democratic nature of sports while blending with the elegant, cream-colored limestone buildings emblematic of Paris and France at large.
Initiée par le mudac - Musée de design et d'arts appliqués contemporains de Lausanne, en collaboration avec la maison d'édition française T&P Work UNit, RADDAR est une revue annuelle de recherche sur le design. Elle s'adresse à tous ceux et à toutes celles qui s'interrogent sur les objets, les espaces, le graphisme, les formes visuelles et les façons de les montrer ainsi que leur circulation, leur histoire, leur évolution technique, leurs significations comme leurs différentes matérialités. Le thème retenu pour cette seconde édition de RADDAR est celui de l'architecture d'intérieur et de l'espace, qui inclut à la fois l'espace privé du domicile et l'espace public du bâtiment, du musée à l'aéroport en passant par le centre commercial. L'historienne du design Penny Sparke est l'experte invitée pour ce numéro.
Johansen Skovsted Arkitekter est un bureau d'architecture basé à Copenhague, fondé par Søren Johansen (né en 1981) et Sebastian Skovsted (né en 1982) en 2014. Ils ont tous deux étudié l'architecture à la Royal Danish Academy, où ils ont également enseigné de 2015 à 2021. Depuis sa création, ils ont abordé différentes typologies, telles que les pavillons, la réhabilitation des bâtiments historiques, différentes interventions dans le sanctuaire d'oiseaux de Tipperne, le bureau et l'entrepôt du CODAN, et les installations muséales, toutes construites au Danemark. Leurs oeuvres présentées dans ce numéro 2G nous parlent de temps de construction lents, étrangers à la vitesse d'Instagram, d'images élaborées lentement qui sont capables de pénétrer à la fois toute la traduction constructive locale et le paysage, qu'il soit naturel ou urbain, auquel ils appartiennent. Et parmi toutes les combinaisons de genres et d'influences mutuelles, l'architecture de Johansen Skovsted se présente comme une réponse intelligente aux défis actuels, capable de se connecter à la contemporanéité sans renoncer à ce qui n'était pas si longtemps connu comme genius loci.
En 2019, Agustin Fiorito est devenu architecte associé du cabinet, inaugurant en même temps le siège d'adamo-faiden à Montevideo, en Uruguay. Sorti des ruines du corralito argentin et après être allé étudier et travailler en Europe, le retour en Argentine après la crise signifiait pour adamo-faiden une reformulation de leur rôle d'architectes dans le nouveau contexte social argentin. Dans la recherche de nouveaux programmes et de nouvelles opportunités de travail, la typologie de l'immeuble résidentiel et de bureaux a permis au studio de construire ses premiers travaux, dans lesquels ils sont intervenus en tant qu'architectes et constructeurs. Depuis lors, d'autres ont été ajoutés à cette typologie éprouvée qui ont consolidé adamo-faiden comme l'un des studios de référence dans le continent sud-américain. Cette publication comprend leurs travaux récents, des maisons familiales et des extensions de bâtiments résidentiels, immeubles de bureaux, clubs sociaux et bâtiments commerciaux, certains en collaboration avec d'autres studios internationaux tels que les américains MOS ou le suédois Arrhov Frick.
Le cabinet d'architecture BAST, basé à Toulouse, utilise l'assemblage, le montage, la superposition de couches de façade et de structures en collision pour remettre en question l'unité structurelle. Ce numéro de la revue 2G est consacré à leur travail, présentant certains de leurs projets emblématiques.
Smiljan Radic est l'un des représentants les plus intéressants de la jeune génération d'architectes chiliens. Il explore des thématiques contemporaines adaptées aux problématiques de son pays d'origine : les nouveaux matériaux, et l'introduction de valeurs locales et traditionnelles dans la conception de ses bâtiments. La délicatesse de ses créations, pour lesquelles les détails comptent autant que l'ensemble, est désormais reconnue dans le monde entier. Ce volume de la revue d'architecture 2G est une introduction à son oeuvre dans le contexte chilien.
The sleek, minimalist designs of a residential Swiss architectural firm.
Based in Geneva, Switzerland, Leopold Banchini Architects is exploring the frontiers of space shaping through residential projects across Europe to Bahrain, Australia and beyond. Deeply rooted in architectural history, the firm's practice is concerned with contemporary popular cultures as well as vernacular traditions and crafts.
« À The Eyes, nous avons confiance dans le pouvoir qu'ont les images de créer non pas de la haine, mais du dialogue et de la compréhension. Dans ce numéro largement consacré à Madrid et à l'Espagne, on trouvera de l'espoir dans la volonté do it yourself » des créateurs » - Rémi Coignet, rédacteur en chef.
Le numéro 1-2, 2013 de la revue Cahiers d'Art présente l'oeuvre Clock Owner (2013) de Rosemarie Trockel sur sa couverture, introduisant un dossier spécial d'une centaine de pages consacré à l'artiste. Des reproductions d'oeuvres - sculptures, céramiques, collages, toiles de laine acrylique - y côtoient des textes de Brigid Doherty et Joan Simon et des poèmes de Rolf Dieter Brinkmann.
Ce deuxième numéro depuis le relancement de la revue fin 2012, à la suite de la reprise de la maison d'édition par le collectionneur d'art Staffan Ahrenberg, présente également les oeuvres de Riccardo Paratore, Inge Mahn, Absalon, Le Corbusier, Peter Fischli et David Weiss.
Fidèle à sa tradition, le n°1-2, 2013 propose des écrits réalisés par des auteurs, historiens de l'art et commissaires d'exposition de renommée internationale, disponibles en deux version distinctes française et anglaise. Hans Ulrich Obrist, Joan Simon, Jean Louis Cohen ont ainsi contribué à ce numéro.
Débats et combats des nouvelles écritures pour la scène. Revue collective dirigée par Pauline Peyrade.
"Le Bruit du monde" est une revue consacrée aux écritures théâtrales contemporaines et à leur ancrage dans le monde d'aujourd'hui. Chaque numéro propose de parcourir une question de société à travers des textes d'auteur-e-s émergent-e-s, accompagnés d'articles sur l'écriture, l'engagement et les combats qui animent notre génération.
Ce numéro est sur le thème de l'amour 2.0 : Comment vit-on l'amour aujourd'hui ? Y a-t-il un amour-4G ? Un amour-jetlag ? Que reste-t-il du romantisme ? Qu'est-ce que le polyamour ? À quoi ressemblera l'amour dé-genré ? Quels sont les lieux de réinvention de l'amour ? Que cherche-t-on à préserver et pourquoi ? L'amour est-il par essence « 2.0 » ?
Avec des extraits de pièces inédites d'Alan Payon, Lola Molina, Marilyn Mattei et Samuel Pivo ; des traductions originales de Luciana Lagisquet (Uruguay, trad. Chap Rodriguez) ; et des contributions de Christophe Pellet, Alain Badiou, Olivier Neveux, Florencia Dansilio, Judith Balso, Mathieu Bertholet et de l'artiste Sandra Ghosn.
A theoretical approach to repairing society from the perils of capitalism and overconsumption.
This collaborative project between ARCH+, Akademie der Künste, Berlin, ETH Zurich and the University of Luxembourg proposes a vision of societal repair based on practices of care, maintenance and mending.
This winter, Aperture presents "Image Worlds to Come: Photography & AI," a timely and urgent issue that explores how artificial intelligence is quickly transforming the field of photography and our broader culture of images. Moving beyond hype and hysteria, the essays, interviews, and artist portfolios in this issue provide a crucial resource for understanding the ways in which this fast-evolving technology is reshaping photography's relationship to creativity, authorship, and truth.
To weigh the risks and possibilities of this transformative change, Aperture has turned to some of the leading thinkers in the field. Artist Trevor Paglen and researcher Kate Crawford demystify the "intelligence" of AI and outline its threats to privacy, democracy, and the planet. Pioneering media theorist Fred Ritchin and journalist Brian Palmer unravel the implications of artificial intelligence on the photographer's role as a credible witness. Cultural critic Nora N. Khan explains why we need new criteria to interpret generative images. Rob Horning argues for a more complex understanding of photography's relationship to reality, exposing how the idea of a "real photo" has always been incoherent, while Peter J. Karol delves into the bizarre realm of AI copyright law, examining the unlikely precedents used to develop legal frameworks in the United States.
"The field of photography continually shifts due to emergent technologies, and AI is a big one," says Michael Famighetti, Aperture's editor in chief. "It felt important for us to assemble some of the leading voices grappling with the questions, ideas, opportunities, risks, and problems posed by AI. These issues are significant, and they are here to stay. We hope this issue will be a useful reference and resource for our readers."
"Image Worlds to Come" looks at the past as much as the future. Art historian Noam M. Elcott and technologist Tim Trombley train their own AI model on the Farm Security Administration's vast and storied archive, mimicking photographers like Dorothea Lange and Gordon Parks with revelatory precision. Artist Minne Atairu examines the racial biases of AI systems in beguiling portraits and imagined continuations of the contested Benin Bronzes, exposing how legacies of colonialism are perpetuated in the datasets of mainstream platforms like Midjourney. And photographer Charlie Engman contributes a portfolio of indelible "cursed images" inspired by a feeling of being "nostalgic for the present."
The cover of Aperture issue 257 features a work by Trevor Paglen from his 2017 series It Began as a Military Experiment. The project, focusing on machine learning, consists of images taken of US military employees in the mid-1990s that the Department of Defense used to train early facial recognition software, technology that is now embedded in everyday life.
"Photography is the paradigm of human-technology interfaces," Paglen tells art historian Sarah M. Miller in an extensive interview. "People who think critically about photographs have a great deal to contribute, in terms of trying to conceive of and implement the kind of world that we want to live in, because the world is increasingly hard to distinguish from photography."
"Image Worlds to Come" begins to map a transformative moment for the medium, as we enter an era that will require us to look harder and deeper at photographs than ever before.
