Genesis 'BBC Broadcasts' réuni le meilleur des archives des concerts de Genesis sur la BBC. Ce coffret a été réalisé par Tony Banks, membre fondateur, et Nick Davis, ingénieur et producteur de longue date du groupe.
Les enregistrements s’étendent de 1970 à 1998, on y retrouve les 3 chanteurs du groupe : Peter Gabriel, Phil Collins et Ray Wilson. Les apparitions sur 'Night Ride', les émissions de John Peel, mais aussi les concerts de Knebworth (1978 et 1992), du Lyceum de Londres (1980), et de Wembley (1987). Complété avec des titres provenant du NEC en 1998, du Théâtre de Paris et des sessions Nightride du début des années 70, ainsi que la version rappel très recherchée de "Watcher Of The Skies" du Wembley Empire de 1975, Genesis "BBC Broadcasts" est un véritable trésor.
Avec "Selling England by the pound", Genesis atteint sa pleine majorité et maîtrise parfaitement composition et production. Troisième volet de la trilogie glorieuse du Genesis à cinq, l'album est beaucoup plus net que ses prédécesseurs. En regard de "Nursery Cryme" par exemple, le son est beaucoup plus clair, moins caverneux. L'expérience du groupe se sent dans l'utilisation de la guitare électrique, beaucoup moins maladroite que dans certains titres précédents. Steve Hackett maîtrise désormais à la perfection ses effets, saturation et whammy se mettent en place avec harmonie dans des solos torturés et virtuoses. C'est le cas dans "Dancing with the moonlit night" ou dans le long solo débordant de sensibilité de "Firth of Fifth", considéré par de nombreux fans comme le meilleur morceau de Genesis.
Banks a également acquis une expérience profitable. Il a considérablement diversifié les claviers sur cet album. L'orgue hammond et le piano accoustique sont toujours présents, mais de nombreux synthétiseurs se font entendre, sans excès. En témoigne l'époustouflant solo de synthé qui clôt "The cinema show", par ailleurs véritable prouesse collective d'arpèges et de contre-chant. Les cassures de rythme sont encore plus présentes que sur les albums précédents, et surviennent avec une célérité et un précision remarquables. Les musiciens ne sont pourtant âgés que de 22 à 23 ans.
Succès européen, "Selling England by the pound" est l'occasion d'une tournée et d'un "carton" avec le single "I know what I like", qui apparaît avec le recul comme étant le morceau le plus faible de l'album bien que non dénué de charme. C'est "Firth of Fifth" qui décroche la palme avec son mélange magique de piano et d'orgue, son solo de flûte repris par la guitare, et sa construction irréprochable. On retiendra également la prouesse rythmique de "The Battle of Epping forest" (Phil Collins est tout simplement dément sur ce morceau), les moments planants à la Pink Floyd de "After the ordeal" (probablement dû en grande partie à Steve Hackett), et l'exceptionnelle transition entre "The cinema show" et "Aisle of plenty". Le premier se change soudainement en un long solo de synthétiseur dans lequel Banks décale progressivement la gamme jusqu'à rejoindre celle du morceau suivant, qui n'est autre qu'une reprise très émouvante du premier titre de l'album, "Dancing with the moonlit knight". Cette structure (un thème musical reproduit au début et à la fin de l'album, celui de la fin étant amené par une fugue aux claviers) sera reprise plusieurs fois dans les albums futurs de Genesis après le depart de Peter Gabriel.
Les paroles se diversifient, le groupe semble avoir soif de détente et les contes s'effacent derrière des thématiques plus acerbes et européennes (on reconnaît facilement la reine des peut-être, "the queen of may be...", prête à céder les traditions de son pays au monde marchand). "The Battle of Epping forest" évoque une guerre des gangs en Irlande du Nord. L'ensemble reste toutefois bien grimé derrière les symboles et l'abstraction.
"Selling England by the pound" est un album immaculé. Difficile de trouver une ombre à un tableau aussi parfait (trop ?). Probablement un des tout meilleurs albums de Genesis.
Julien Oeuillet - Copyright 2017 Music Story
Le meilleur de genesis réuni dans un coffret 3CD platinum : 40 titres à prix spécial.
The Last Domino - The Hits est le best of définitif de Genesis.
Des débuts avec les très progressifs 'The Cinema Show', 'Afterglow', et 'Lamb lies Down On Broadway' des années 70 jusqu’au très pop 'Invisible Touch', 'That’s all' et 'I Can’t Dance' des années 80 et 90.
Le label earMUSIC est fier de présenter une nouvelle vague de sorties earMUSIC Classics, composée de rééditions d'albums studios et live d'artistes prestigieux dans des packaging attractifs. Cette nouvelle vague, le 27 mai 2022, comprendra des albums au format DVD ou Bluray. Vous retrouverez des nombreux albums de Bruce Springsteen, Aerosmith, Eric Clapton ou encore GENESIS.
'Sum Of The Parts' est le documentaire officiel qui retrace toute la carrière du groupe Genesis. Présentant des contributions de membres clés passés et présents : Tony Banks, Phil Collins, Peter Gabriel, Steve Hackett, Mike Rutherford et Anthony Phillips, ainsi qu'une multitude de séquences de performances d'archives des plus grands morceaux du groupe et des favoris des fans, cette première étude autorisée de l'histoire du groupe commence avec leur formation au collège de Charterhouse en 1967 et réunit le groupe pour la première fois. Le film raconte une histoire musicale extraordinaire, explorant l'écriture des chansons du groupe ainsi que les hauts et les bas émotionnels et se penche sur la dynamique entre les membres du groupe. C'est une histoire captivante, racontée ici depuis leurs débuts pour la première fois.
Sorti en 1973, "Genesis Live" est le premier album live du groupe de rock progressif Genesis.
Les titres de cet album ont été enregistrés au départ pour l'émission de radio américaine King Biscuit Flower Hour. Les membres de Genesis ne comptaient pas sortir d'album en public, mais Tony Stratton-Smith, le patron de leur label Charisma Records, arriva à les convaincre de sortir cet album pour combler le temps qui sépare "Foxtrot" et son successeur, "Selling England by the Pound".
Le groupe a longtemps hésité à sortir cet album de peur qu'il ne révèle les carences du show live par rapport à l'enregistrement studio. En effet, les mélodies, parfois fort complexes et rapides (notamment les partitions des claviers dans la pièce "Supper's Ready"), n'étaient pas toujours interprétées à la perfection en concert (malgré le haut niveau technique des musiciens), ce qui contrariait les membres de Genesis.
Cet album eut pour avantage de fournir aux fans les plus dévoués du groupe un précieux témoignage des concerts de Genesis avec Peter Gabriel car le groupe ne diffusa plus d'enregistrement live jusqu'au départ de Gabriel en 1975 (le disque "Seconds Out" ne sortit qu'en 1977, avec Phil Collins au chant).
L'album fut enregistré le 25 février 1973 au De Montfort Hall de Leicester (excepté la chanson "Return of the Giant Hogweed" qui fut enregistré la veille à Manchester au Free Trade Hall) pendant la tournée qui suivit la sortie de "Foxtrot" (1972).
La couverture de la pochette représente le groupe sur scène pendant l'interprétation du titre "Apocalypse in 9/8", chanson incorporée dans la pièce de vingt-trois minutes "Supper's Ready". On reconnait le costume de Gabriel avec son « casque » rouge aux formes géométriques. Cette pièce ne figure cependant pas sur l'album live ; elle fut retirée de l'album, qui, au lieu d'être un double album, devint un simple 33 tours. Néanmoins, quelques exemplaires d'un pressage promotionnel pour les radios du double album initialement prévu existent (sur le label néerlandais Philips Records).
En Grande-Bretagne, cet album atteignit la 9e place dans les charts et se classa à la 105e place du Billboard 200 aux États-Unis.
Cet album fut dedicacé à Richard MacPhail, tour manager de Genesis depuis 1970, qui quitta ces fonctions en avril 1973 pour se tourner vers de nouveaux horizons.
Marie Losier, cinéaste new-yorkaise née à Paris, commence à filmer, par des portraits des gens qu'elle a rencontré à New York, en documentant leur vie à partir de ce qu'elle voit et ce qu'elle ressens après de nombreuses années dans le théâtre et la peinture qui ont eu une grande influence sur elle. Puis elle mélange son imagination pour représenter ces personnages ou des sitautions comme dans un tableau vivant. Toujours avec la matérialité de la pellicule qui exige une certaine façon de faire, son cinéma développe un mystère, un moment magique.
Après un violent blizzard, Un couple se retrouve enseveli, piégé dans son véhicule. ils vont devoir lutter pour survivre alors que les températures et l'obscurité plongent de plus en plus.
R-Kive est le best of définitif de Genesis
Des débuts avec les très progressifs Musical Box et Supper's ready, et Lamb lies Down On Broadway des années 70 jusqu'au très pop Invisible Touch et I Can't Dance des années 80 et 90.
Cette compilation reprend également les plus grands tubes des carrières solos de Peter Gabriel, Phil Collins, de Mike Rutheford avec Mike and the Mechanics, Tony Banks et Steve Hackett.
The Ballad of Genesis and Lady Jaye retrace l'histoire hors norme de l'artiste Genesis Breyer P-Orridge et de sa femme et partenaire artistique, Lady Jaye, qui par amour ont décidé de se fondre en une seule entité. Artiste majeur de l'avant-garde new-yorkaise de ces 30 dernières années, considéré comme l'un des pères de la musique industrielle, Genesis a défié les limites de l'art et de la biologie. En 2000, il débute une série d'opérations afin de ressembler trait pour trait à Lady Jaye, une performance risquée, ambitieuse et subversive. The Ballad of Genesis and Lady Jaye relate cet acte ultime d'amour et de dévotion.
À Brooklyn, Jimmy Conlon, mafieux et tueur à gages qu'on surnommait autrefois le Fossoyeur, n'est pas au mieux de sa forme. Ami de longue date du caïd Shawn Maguire, Jimmy, qui a aujourd'hui 55 ans, est hanté par ses crimes - et traqué par un inspecteur de police qui, depuis 30 ans, n'a jamais renoncé à l'appréhender. Et ces derniers temps, il semble que le whisky soit le seul réconfort de Jimmy. Mais lorsqu'il apprend que sa prochaine mission consiste à éliminer Mike, son fils qu'il n'a pas revu depuis des années, Jimmy doit choisir entre la "famille" mafieuse qu'il s'est construite et la vraie famille qu'il a abandonnée il y a bien longtemps. Tandis que Mike est en cavale, Jimmy comprend que pour racheter ses fautes passées, il lui faut sans doute protéger son fils du sort funeste qui l'attend lui-même désormais... Alors qu'il n'est plus en sécurité nulle part, Jimmy ne dispose que d'une seule nuit pour résoudre son conflit de loyautés et s'amender enfin.
Enregistré aux Parc des Exposition de Dijon le 3 juin 1978.
"Foxtrot" est le quatrième album studio du groupe rock progressif britannique Genesis. Il fut enregistré en août 1972 à Londres dans les Studios Island et parut sur le label Charisma le 6 octobre 1972. Il est composé de six titres dont un, "Supper's Ready", dure près de 23 minutes. Le titre "Watcher of the Skies" a fait l'objet d'un single sorti en février 1973.
La pochette est une création de Paul Whitehead. Il avait déjà illustré les deux albums précédents, "Trespass" et "Nursery Cryme". La femme-renard de la pochette inspira Peter Gabriel qui fit vivre le personnage sur scène en enfilant une robe rouge appartenant à sa femme Jill ainsi qu'un masque de renard.
En Grande-Bretagne, il fut le premier grand succès du groupe et se classa à la 12e place des charts. En France, l'album est disque d'or (100 000 exemplaires vendus) ; s'il contribue à imposer Genesis en Europe, il n'en est pas de même aux États-Unis où il n'apparaît même pas dans le classement du Billboard.
Alors que l'ouragan Katrina frappe la Nouvelle-Orléans, un jeune père doit lutter pour la survie de son bébé prématuré dans un hôpital déserté de tous... ou presque.
En 1972, le quintet classique de Genesis a enregistré une sélection de chansons des albums « Nursery Cryme » et « Foxtrot » pour la BBC , ce qui a donné lieu à des versions live d'excellente qualité. Les six titres compilés ici comprennent également « Twilight Alehouse », une chanson qui n'a jamais été enregistrée en studio. Livré avec tous les détails de l'enregistrement et les notes de la pochette.
"Three Sides Live" a été filmé en novembre 1981 lors de la tournée américaine "Abacab". Le film fut alors édité en VHS pour coïncider avec la sortie de l'album live du même nom. Il n'a fait l'objet que d'une seule éditon en DVD lors de la sortie de l'édition de luxe "The Movie Box 1981-2007". Tourné à l'origine en 16 mm, le film a été entièrement restauré. Le spectacle est dédié aux titres des albumes "Duke" et "Abacab", et les chansons sont entrecoupées d'images des coulisses et d'interviews des membres du groupe.