Ce nouvel album, Stephan Eicher le travaille au corps et à l'âme depuis trois ans. Les chansons de cet opus sont des cartes postales qui débordent, les couleurs ruissellent pour esquisser un autre paysage.
Stephan Eicher aime quand les émotions préfèrent les petits chemins aux grandes autoroutes. Il peut chanter la disparition, la menace qui rôde, le doute et les orages mais il refuse le manichéisme, la noirceur de pacotille. Chez lui, tout se télescope, tournoie, se mêle. AvecOde, il y a de l'espoir dans ses chansons, parfois des rires, plutôt en coin, de l'amour, il y a surtout une poésie ultra-sensible, les mots des amis écrivains, Martin Suter et toujours et encore Philippe Djian.
Cet album 'Engelberg' a révélé Stephen Eicher au grand public avec ces 3 titres incontournables comme 'Pas d'ami comme toi', 'Tu ne me dois rien' et 'Déjeuner en paix', produit par l'artiste lui-même en collaboration avec Dominique Blanc-Francard.
Sept ans qu'il n'avait pas sorti d'album studio inédit ! Depuis L'Envolée, son dernier album inédit en date, Stephan Eicher a donné beaucoup de concerts (tournées Stephan Eicher & Die Automaten puis Stephan Eicher & Traktorkestar). Février 2019 a marqué son retour discographique avec un album de reprises de ses grands morceaux, revisités avec une fanfare suisse ( Hüh ! avec le Traktorkestar).
À la rentrée, c'est un nouvel album inédit qui paraît, le quatorzième. Stephan Eicher et ses musiciens ont pris du plaisir à soigner ces instants de musique pour créer un moment de détente, un espace confortable, le temps d'une petite rêverie. Ou le top du top : pour susciter le sentiment d'être embrassé par la chanson.
Cet album 'Engelberg' a révélé Stephen Eicher au grand public avec ces 3 titres incontournables comme 'Pas d'ami comme toi', 'Tu ne me dois rien' et 'Déjeuner en paix', produit par l'artiste lui-même en collaboration avec Dominique Blanc-Francard.
Ce live a été enregistré l'année de sortie de album 'Engelberg' qui a révélé Stephen Eicher au grand public avec ces 3 titres incontournables comme 'Pas d'ami comme toi', 'Tu ne me dois rien' et 'Déjeuner en paix', produit par l'artiste lui-même en collaboration avec Dominique Blanc-Francard.
Bientôt six ans depuis son dernier album 'L'envolée'. Après avoir joué seul sur scène avec une collection d'automates lors de la tournée à succès 'Stephan Eicher und die Automaten' , il revient aujourd'hui avec un nouvel album et une tournée.
Depuis janvier, il est de nouveau sur les routes avec une fanfare suisse puissante et mélancolique de 12 musiciens, le Traktorkestar, avec laquelle il revisite des titres de son répertoire, dont 'Combien de temps', 'Pas d'amis (comme toi)'...
Ces nouvelles interprétations, accompagnées de trois titres inédits, font l'objet d'un album intitulé 'Hüh !'
5 ans après l'album « Eldorado », voici un retour attendu pour le plus hexagonal des chanteurs helvètes. Un onzième album, "L'Envolée", qui est avant tout une histoire de rencontres. Avec Mark Daumail, l'artisan du son Cocoon, ou encore Fred Avril, auteur à l'aube du XXIe siècle de deux albums d'une électro pop inclassable. C'est ensemble que Stephan et Fred ont entre autres esquissé "Le Sourire", premier extrait de l'album. Et puis il y a "Disparaître", ballade lacrymale portée par un texte bouleversant, écrit par Miossec. Stephan Eicher jongle avec les instruments avec une dextérité étourdissante, entouré de nouvelles têtes (William Tyler de Lambchop, Edith Fambuena, Volker Zander bassiste de Calexico, etc.) et vieux copains (dont Martin Wenk de Calexico). L'écrivain français Philippe Djian est toujours très présent sur les textes et cosigne même la musique de l'un des titres de l'album. Au détour d'un couplet de la chanson "Disparaître", Stephan Eicher a laissé entendre sur un ton de confesse que "l'aventure s'arrête ici".
C'est troublant. Car, lorsque s'évanouissent les dernières notes de l'album, on a plutôt l'impression tenace qu'elle ne fait que (re)commencer.
Le 12 juillet 2008, aux Francofolies de La Rochelle, Stephan Eicher,
accompagné de deux musiciens, donne un concert dont la force restera
mémorable. Celui dont on attendait le retour depuis près de 5 ans, est revenu en
avril 2007 avec « Eldorado », un album qui fit l'unanimité média et noua un lien
profond avec un public reconquis. 2 ans après, avec 200.000 albums vendus en
France et en Suisse principalement, « Eldorado » est resté dans les mémoires
comme l'un des plus beaux retours artistiques de ces dernières années.
A l'album, se sont ajoutés des concerts de facture assez rare. Avec 4 ou 3
musiciens accompagnant l'artiste sur scène, la tournée « Eldorado » a su elle
aussi fédérer. Musiciens multi-instrumentistes virtuoses, innovations permanentes
sur les arrangements, jeux de scène sobres, mais toujours généreux, lumières et
décors de scène jouant sur l'esthétique noir et blanc d'un studio photo où
les musiciens jouaient avec les ombres...Tout aura contribué à faire de cette
tournée un événement artistique singulier, jouant avec les codes d'un concert «
pop » (l'artiste au centre) sans jamais vraiment s'y plier (l'artiste en perpétuel
jeu de cache-cache, tour à tour satisfaisant ou déjouant les attentes du
public).
Autre fait remarquable, ce concert de La Rochelle, « Eldorado Trio Live », a été
réalisé par Stephan Eicher lui-même. Venant d'un artiste aussi investi sur tous
les aspects de la création, ce passage à la réalisation n'est pas si surprenant. Qui
mieux que Stephan pouvait rendre compte, à travers une minutieuse direction
artistique, de son étonnant laboratoire musical ?
Sans cesse en recherche de nouvelles sensations, accrochant l'énergie des
chansons de façon souvent inédite, « Eldorado Trio Live » est de très loin le live
le plus proche de Stephan Eicher, car il fait toujours, au bout du compte, la part
belle à la musique et à la création pure. Certes avec une grande précision, mais
dans la spontanéité et l'énergie de l'instant.