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Le Festin
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Buffalo Bill, les indiens et Rosa Bonheur à Bordeaux
Dominique Dussol
- Le Festin
- 9 Septembre 2023
- 9782360623266
Comment le fameux Buffalo Bill, légende vivante de la conquête de l'Ouest américain, et Bordeaux se sont-ils rencontrés durant une dizaine de jours ? Comment certains « Peaux-Rouges » sont-ils venus danser avec les esprits sur le Port de la Lune ? Comment les bisons des grandes steppes nord-américaines sont-ils venus fouler le sol poussiéreux de la place des Quinconces ? Comment les destins de Buffalo Bill et de Rosa Bonheur se sont-ils mêlés grâce à la peinture ? Ce choc des cultures, fort improbable en 1905, a pourtant eu lieu, le temps d'un grand spectacle intitulé L'Ouest sauvage (Wild West Show), dans une arène digne des eux de la Rome antique. Pour le plaisir des Bordelais, la plus grande place de la ville s'est transformée en une plaine poudreuse du Far West afin d'accueillir la chevauchée fantastique des cow-boys et des Indiens, orchestrée par le maître du jeu, Buffalo Bill en personne. Au fil des pages, le livre suit le grand chasseur de bisons devenu showman durant sa tournée française de 1905 et tout particulièrement à Bordeaux et dans les villes de l'Aquitaine. En chemin, on rencontre des personnages hauts en couleur : le grand chef Sitting Bull, l'as de la gâchette Annie Oakley, un faux Buffalo Bill ou bien la peintre, d'origine bordelaise, Rosa Bonheur. Buffalo Bill, les Indiens et Rosa Bonheur à Bordeaux nous entraine dans un monde explosif de bruits et de couleurs, entre imaginaire et réalité.
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Revue Le Festin n.119 : parenthèses enchantées
Revue le festin
- Le Festin
- Revue Le Festin
- 8 Septembre 2021
- 9782360622849
À la rentrée un numéro très riche à l'occasion des Journées européennes du Patrimoine.
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Construit entre 1858 et 1860, le pont ferroviaire de Bordeaux, appelé la « passerelle Eiffel », fut l'un des plus grands ponts métalliques de son temps. Ses imposantes dimensions (509 mètres) et sa technique de construction pionnière, constituent un record pour ce type de structure à l'époque.
La passerelle est surtout célèbre pour avoir été le théâtre des premiers exploits de Gustave Eiffel. Par un heureux concours de circonstance, le jeune ingénieur, âgé seulement de 26 ans, fut recruté en 1856, peu de temps après sa sortie de l'École Centrale, afin de mettre au point les plans d'exécution d'après les dessins des ingénieurs de la Compagnie des chemins de fer du Midi, l'ingénieur Stanislas de la Roche-Tolay, assisté de Paul Regnault. Sous le Second Empire, lancer un pont droit en tôle riveté au-dessus d'un fleuve aussi tumultueux que la Garonne était un véritable défi.
Chargé d'en diriger le chantier, Eiffel vint s'installer à Bordeaux de 1858 à 1862. En tant que chef de chantier, il apporta plusieurs innovations comme le rivetage des poutres à treillis (permettant une plus grande résistance aux vibrations) et se distingua surtout au moment des fondations, en maîtrisant le fonçage des piles à l'air comprimé. Après 26 mois de chantier, le pont de Bordeaux fut inauguré le 8 juillet 1860. Il fut pour Gustave Eiffel l'élément fondateur de sa carrière internationale.
Grâce à la correspondance que le jeune homme entretenait avec sa famille et en s'appuyant sur plusieurs documents d'archive, le livre retrace point par point ses exploits bordelais. Il évoque ses autres chantiers en Aquitaine dont le spectaculaire pont de Cubzac. Il resitue également la passerelle dans le contexte de l'architecture des ponts métalliques du XIXe siècle.
Enfin, l'épilogue de cette grande aventure est retracé par Myriam Larnaudie-Eiffel, l'arrière-petite fille d'Eiffel. Détourné de son usage initial, le pont ferroviaire fut menacé de destruction, amputé de sa passerelle (1981), puis de ses rampes d'accès (2008). Heureusement, sa protection au titre des Monuments Historiques (2010) le met définitivement à l'abri de toute destruction, en relançant la question de son projet de réhabilitation. -
Un numéro estival qui vous invite à prendre l'air, d'est en ouest, du nord au sud, dans les terres ou sur la côte, en ville ou en pleine nature, aménagez-vous des plages de découvertes et de détente.
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Un entretien complété des éclairages de compagnons de route de Sagittarius : Raphaël Pichon, fondateur directeur de l'ensemble Pygmalion, Gilles Cantagrel, musicologue, spécialiste de Bach, Séverine Pacteau de Luze, historienne, Patrick Rödel, philosophe, Philippe Jaroussky, contreténor...
Le confident :
Michel Laplénie a une vingtaine d'années quand, étudiant à Vienne, chantant occasionnellement sous la direction d'Herbert von Karajan ou de Karl Böhm, il entend, pour la première fois, l'épithète « baroque » appliquée à la musique. Baroque ? Le mot, venu de l'architecture, est alors rarement utilisé pour désigner un répertoire musical oublié, englouti par le temps. Son emploi ne va pourtant cesser de s'accroître, et finira par désigner toute la musique allant de la fin de la Renaissance, en 1600, à la mort de Jean-Sébastien Bach, en 1750. Lully, Couperin, Purcell, Rameau, Haendel... Michel Laplénie a vécu de l'intérieur, pendant 40 ans, l'affirmation de cette catégorie musicale. Il fut, aux côtés de William Christie, l'un des pionniers des Arts florissants, avant de porter pendant trente ans l'ensemble baroque Sagittarius, depuis sa base en Aquitaine, à Blaye, jusqu'aux scènes internationales.
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Pour son numéro d'été, Le Festin innove : ce n'est plus deux mais trois couvertures que nous vous proposons afin de ravir les goûts de chacun ! Du nord de la région au sud, en passant par le centre, vous découvrirez Arcachon vu du large, Biarritz par ses plages, la Dordogne par sa rivière la Vézère mais aussi le Lot-et-Garonne par le concept Élodée (bassins de nages naturels).
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Entre 1913 et 1927, le riche industriel bordelais Henry Baronnet-Frugès fit mettre au goût du jour l'ancien hôtel Davergne, place des Martyrs-de-la-Résistance, pour en faire sa propre demeure. Épris de Moyen Âge et d'Orient, passionné d'architecture, de peinture et de musique, son goût éclectique transparaît dans cet hôtel particulier moderne, dont il en confia le chantier à son ami, l'architecte Pierre Ferret.
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Peintures du XIXe siècle ; musée des beaux-arts de Pau
G. Ambroise
- Le Festin
- 2 Novembre 2007
- 9782915262568
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Revue Le Festin n.103 : désirs d'Orient
Revue le festin
- Le Festin
- Revue Le Festin
- 15 Septembre 2017
- 9782360621781
Cet automne, Le Festin s'envole aux pays des mille et une nuits avec un numéro spécial Désirs d'Orient. Des villas mauresques de Biarritz aux temples francs-maçons de la Dordogne, en passant par les tableaux d'Eugène Fromentin (conservés au musée des beaux-arts de La Rochelle), l'orientalisme se dévoile sous toutes ses formes (architecture, peinture, littérature).
Laissez-vous tenter par les séductions de ce numéro 103 !
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Revue Le Festin n.105 : jardins extraordinaires
Revue le festin
- Le Festin
- Revue Le Festin
- 9 Mars 2018
- 9782360621941
Le Festin vous propose dans ce nouveau numéro une variation printanière autour des jardins côtiers, ruraux et urbains de la Nouvelle-Aquitaine. À l'arrivée des beaux jours, ces verdoyants espaces naturels ou modelés par l'Homme arborent leurs plus beaux visages au grand plaisir des visiteurs.
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Jacques-Émile Blanche ; le peintre aux visages
Rosan T. Saumier X.
- Le Festin
- 25 Mai 2018
- 9782360622009
Jacques-Émile Blanche (1861-1942) a passé une grande partie de son enfance au sein de la maison de santé pour aliénés créée par son grand-père, auquel succéda son père. Les deux hommes, fort cultivés et philanthropes, y accueillaient artistes et hommes de lettres. C'est ainsi que le futur peintre-analyste - et écrivain prolixe -, côtoya Renan, Gounod, Baudelaire, Corot, Fantin-Latour... et les patients de la maison du docteur Blanche. On conçoit qu'il en restât des traces. C'est dans cet antre de gloires et de déchéances mélangées (avec la figure absolue de Maupassant) que l'enfant « né peintre » (dixit Manet) forgea ses premiers émois et ses premiers rêves.
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Onésime Reclus, comme ses illustres frères Elie et Elisée, a toujours eu la passion de la géographie et de l'ethnographie. Dans son recueil La France à vol d'oiseaux (1908), il rend compte de ses voyages à travers le territoire français, composant, région par région, une géographie sensible et inspirée. Ainsi consacre-t-il de superbes pages aux Landes gasconnes. A l'inverse de nombre de commentateurs de l'époque, Reclus ne se laisse jamais berner parles apparences d'une terre désolée qui s'étend encore, au début du XXe siècle, de l'Adour à la Saintonge mais décrit ces vastes étendues à l'aune des grands travaux de la modernité.
Il montre tout à la fois les paysages de steppe et de forêts, de dunes et de marais, s'aventurant sur les chemins de l'Adour, d'étangs en courants, et jusqu'au Bassin d'Arcachon et à la "cité bruissante, agissante, des baigneurs". Ainsi, on ne lit pas les Landes en lisant Onésime Reclus, on les vit, au plein sens du terme.
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1920-2020 : 100 ans d'intérêts collectifs. L'avenir s'écrit en transition(s). Le 23 janvier 1920, la Ville de Bordeaux décide en Conseil municipal de se doter d'un Office Public d'Habitations à Bon Marché (OPHBM). Sa création est effective à compter du 16 juin 1920. L'ancêtre de ce qui deviendra aquitanis change ensuite de statut (Office Public d'HLM, puis Office Public d'Aménagement et de Construction et aujourd'hui Office Public de l'Habitat), de collectivité de rattachement (la Communauté urbaine de Bordeaux dès 1968 puis Bordeaux Métropole) et de territoire de compétence, désormais la Nouvelle-Aquitaine. Il évolue et s'adapte en permanence pour apporter des réponses aux enjeux locaux et nationaux en matière d'habitat : salubrité, reconstruction, modernité et aujourd'hui, accompagnement des nécessaires transitions écologiques et sociétales des territoires au service de celles et ceux qui y vivent et les font vivre.
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Infatigable explorateur urbain, Marc Saboya, historien de l'architecture, offre ici un recueil de notes de promenades à travers Bordeaux, telle que la cité se présente à nous aujourd'hui, c'est-à-dire dans toute la plénitude de son décor retrouvé, dans toute son infinie diversité.
Album illustré, ce livre à multiples entrées n'a pas vraiment de début ni de fin : il est une invitation à se perdre dans ses pages comme dans la cité. Une fois refermé, vous ne regarderez plus jamais Bordeaux comme avant.
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Jean-Roger Sourgen ; peintre d'Hossegor et des landes
Jean-roger Soubiran
- Le Festin
- 4 Juin 2018
- 9782360622115
Le paysage landais n'a cessé d'inspirer les peintres qui en découvrirent les chemins et les secrets au début du siècle dernier. Dans les cités balnéaires nées des sables, c'est un engouement pour des lieux où mer et terre se marient de manière unique. Hossegor en est la perle, elle qui va trouver avec Jean-Roger Sourgen un de ses peintres les plus éloquents et les plus attachants.
La nature qu'il peint est à la fois obscure et torturée, généreuse et brillante. Longtemps méconnu, il fait enfin figure de grand nom et ses tableaux connaissent une vogue sans pareille.
Jean-Roger Sourgen (1883-1978) se fixe en 1925 à Hossegor. Autodidacte, il rassemble dans un triptyque thématique les motifs du paysage landais. Enchâssé dans les pins, serti, tel une opale, le lac d'Hossegor, inlassablement répété, dans un permanent désir de fusion, est conçu comme une scène de théâtre que l'artiste modèle au gré de sa fantaisie.
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Si les maisons individuelles apparaissent souvent comme porteuses d'histoires, il se pourrait bien que celles de Gironde ne nous aient pas encore confieì tous leurs secrets !
Le tome 2 de la collection ARCHITECTURES ET PAYSAGES EN GIRONDE vient compleìter la typologie commenceìe dans un premier livre par le CAUE de la Gironde. L'Arcachonnaise propose des fantaisies architecturales deìdieìes aÌ la villeìgiature. ApreÌs la Seconde Guerre mondiale, la maison des anneìes cinquante incarne le renovueau et la moderniteì en s'affranchissant des techniques traditionnelles. Les maisons Art deìco et Art nouveau opposent des arrondis aux lignes droites, en tentant de s'eìmanciper du style classique aÌ l'aube du 20e sieÌcle.
La maison de ville, aÌ eìtage, est caracteìristique du style bordelais. Les "antillaises", reìinterpreìtations d'architectures coloniales, nous racontent l'histoire d'un territoire, celui des Landes de Gascogne. Enfin, la maison contemporaine vient compleìter ce panorama. Elle illustre une architecture en perpeìtuelle eìvolution, marqueìe aujourd'hui par le pluralisme des formes, des mateìriaux et des couleurs.
Tels des indices suppleìmentaires pour vous guider dans la connaissance des lieux, ces types architecturaux teìmoignent de la richesse d'un territoire, la Gironde. AÌ la deìcouverte d'un patrimoine aux multiples facettes.
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Excellent portraitiste et étonnant paysagiste, René Princeteau se révéla un fin connaisseur du cheval, devenant le plus fidèle traducteur de l'époque des grands équipages, des chasses à courre et des courses hippiques.
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Henri Marret (1878-1964) ; un été espagnol
Guillaume Ambroise, Patrick Descamps
- Le Festin
- 22 Octobre 2009
- 9782360620005
Henri Marret fait parti de ces nombreux peintres, nés trop tard pour être rattachés pleinement au xixe siècle et trop tôt pour s ancrer tout à fait dans le suivant. Sa production, aux confins du Réalisme, d un impressionnisme modéré et de l influence symboliste, a trouvé son épanouissement et une certaine reconnaissance dans la pratique de la fresque civile et religieuse. En marge de cette production officielle, Henri Marret a mené une carrière de peintre et de graveur qui mérite d être redécouverte tant par son ampleur que par sa qualité, offrant ainsi à ce tempérament nerveux une plus grande liberté d expression et d exécution que la fresque. Du Croisic à la Côte basque, ses aquarelles révèlent un artiste sensible aux rythmes de la nature, sachant les capter avec une acuité rare, un dessin enlevé, une palette vive comme le montrent ce catalogue et l exposition qui lui est consacrée au musée des beaux-arts de Pau.
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Marc Saboya, historien de l'art, poursuit sa quête d'explorateur urbain et nous dévoile dans ces chroniques les côtés cachés, insoupçonnés ou inaperçus de l'architecture de Bordeaux. Après le succès du premier tome Ordre et désordre (2008), ce titre retrace les motifs et les étapes de l'évolution architecturale de la ville.
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Gentleman Princeteau Tome 3 ; portraits et portraits équestres
M. Stahl
- Le Festin
- 1 Mars 2008
- 9782915262681
L'exploration de l'univers pictural de René Princeteau s'enrichit, avec le portrait, d'un volet apparemment bien éloigné de la thématique habituelle de l'artiste, trop souvent cantonné au statut de " peintre animalier ".
Or les découvertes s'avèrent nombreuses et inattendues, à l'occasion de la troisième exposition du cycle qui lui est consacré par le musée des beaux-arts de Libourne et à laquelle ont contribué de nombreux collectionneurs et fonds publics. L'artiste bénéficia en effet d'une clientèle parisienne huppée - celle-là même qui lui commandait les représentations de cracks remportant des courses hippiques.
Oeuvres de commande pour la plupart, ses portraits obéissent à des règles académiques, mais sont également fortement imprégnés de la personnalité singulière de leur auteur. Princeteau croqua l'empereur Napoléon Ill à Saint-Cloud, exposa au Salon, participa à l'Exposition universelle de Philadelphie en 1876 avec le superbe Portrait équestre de George Washington, et immortalisa quelques figures parmi les plus importantes de la Ille République, toutes émouvantes du poids de leur destin.
Si les portraits équestres qu'il réalisa constituent autant de témoignages précédant le déclin irrémédiable du cheval après la Grande Guerre, la gravité de ses toiles se transforma peu à peu, Princeteau privilégiant les représentations désacralisées et aimables d'amazones élégantes, de rendez-vous en forêt, comme autant de codes fluides et aimables d'un certain art de vivre.
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Cet ouvrage est le deuxième des 7 catalogues édités à l'occasion de la rétrospective consacrée à René Princeteau (1843-1914), peintre animalier, ami de Toulouse-Lautrec.
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L'église Notre-Dame de Royan ; Guillaume Gillet et le gothique moderne
Franck Delorme
- Le Festin
- 15 Juin 2012
- 9782360620548
'église Notre-Dame domine Royan de sa silhouette singulière. Achevée en 1958, elle est devenue le symbole de la renaissance de toute la ville. Avec son architecte Guillaume Gillet, elle a pris place dans l'histoire de l'architecture religieuse et elles s'inscrit dans le mouvement de renouveau de l'art sacré qui se produit pendant les Trentes Glorieuses.
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De la ville à la métropole 50 ans d'urbanisme
Agence D'Urbanisme B
- Le Festin
- 19 Novembre 2020
- 9782360622504